Princes et les Arts (Lethuillier 3 avril 14h&15h)

Matthieu

Exposé

Le Prince et musique en Italie au XVIIIe

I.     Subsistance musique de cours en Italie au XVIIIe

A.             L’état des lieux de la musique

B.               Une glorification du prince

II.    Une évolution de la musique dans ses rapports avec le prince à partir des années 1750’s

A.             Le déclin de la musique de cour

B.               Une musique plus au gout du public qu’au service du prince 

Reprise

• Sujet diffiicile.
• 17 minutes : trop court.
• Trop de référence au XVIIe.
• Manuel de concours globalement assez faible sur XVII-XVIIIe…Il faut aller sur les histoires de la musique, des histoires générales, pas d’historiens, (Roland de Candé : histoire universelle de la musique)
• Aussi des ouvrages d’historiens qui traitent le sujet, dans la question : Mélanie Traversier, Gouverner l'opéra
• Le prince marque moins la musique qu’au siècle précédent, beaucoup des grands musiciens fin XVIIIe ne sont plus Italiens (Mozart, Beethoven,…)
• Evoquer les institutions et les formes, montrer comment les genres évoluent au XVIIIe.
• Il faut se soucier du statut des artistes. Les grands créateurs de musique au XVIIIe s’expatrient : Domenico Scarlatti en France puis Espagne,Luigi Boccherini ; Vivaldi et les quatres saisons à Amsterdam et pas en Italie.
• L’opéra, Opéra sérieux (Opera seria), celui qui fonde l’action sur un référence à la mythologie à l’histoire voir grand roman (Arioste). C’est fait pour un public princier. Il fallait évoquer les castra. Les prouesses mécaniques dans la salle… Création scène d’opera à Turin par les rois de Piémont. Donc poursuite du courant.
• En même temps, un autre opera-bouffa, nait dans les deux premières décennies du XVIIIe. Un opéra qui par ses sujets même ne peut plus s’adresser au prince de la même manière.

• Statut des artistes passage d’un mécénat pour le librettiste, le chanteur, le compositeur passage du mécénat a un statut ou la relation avec le public est essentielle.
• Alessandro Scarlatti, ne parvient pas à trouver un maitre…à la génération suivante, c’est l’abandon. Vivaldi qui se bat pour l’édition de sa musique, et fondamentalement, avènement d’une musique de salle, d’une musique publique.
• Les salles d’opéra, les gouts du public et au total un ensemble chanteur, compositeurs, patrons de salles, librettistes défendent les gouts du public et de moins en moins du prince avec en prime une deuxième transformation : le départ pour l’étranger qui manifeste que le XVIIIe italien n’a plus la même splendeur

• Prince pas capable d’enrayer ce mouvement de déclin.

Le Bernin, un artiste au service des princes

I.     un artiste accompli pour la gloire de Rome

A.             Service auprès des familles de l’aristocratie romaine.

B.               Servir la chrétienté

II.    Un talent qui s’exporte

A.             La cour de louis XIV

B.               Un échec d’implantation en France ?

III.    Un artiste dans son temps

A.             Figure de proue du baroque ?

B.               Concurrence de ses contemporains et fin du style baroque ?

Reprise

• Attention à la biographie ici c’est le service des princes qui était important.
• Rôle du père, artiste important
• Personnage aussi de Scipion Borghèse, appartient à la famille pontificale, sert d’animateur de la ville artistique au nom du pape.
• Urbain VIII pape très important et le Bernin pendant 20 ans devient l’artiste fondamentale en Europe au service du pape.
• Travaux pour le pape et les multiples fontaines
• Quand Urbain VIII, Innocent X (pamphili) prend la tiare, poursuit des objectifs : ressources financière et fiscales papauté se réduisent réduit les politique artistiques et les pamhili déteste le Barberini et donc c’est la chasse au sorcière. Mazarin, client des Barberini en accueil, le Bernin est en disgrâce…
• Disgrâce ? Innocent X l’a employé : fontaine des quatres fleuves, seule commande importante que Innocent à demander au Bernin, parce qu’il y a des rivaux : Borromini.
• Quand Alexandre VII monte sur le trône, le Bernin retour en grâce : colonnade de la place saint-pierre, carrière qui se construit dans la clientèle d’un pape mécène mais avec tous les inconvénient (disgrâce, affrontement avec rivaux) et des avantages( il est fait chevalier,…)
• Idée que un grand prince doit forcément avoir à son service un très grand artiste (précédant antique)
• Baldaquin de Saint-Pierre très important œuvres du Bernin.
• Colonnade place saint-pierre
• Le Bernin a servi donc la puissance princière mais en même temps, il a servi aussi Dieu et l’Eglise, le prince qu’il à servit est un pape et cet aspect devrait l’emporter dans le jugement sur le Bernin.
• Il fallait discuter la relation au prince

I. Construction de la carrière italienne

II. Sejour en France

III. L’art du Bernin